26.11.09

L'Inde rurale



photo de Gautam


Ce photographe vit en Inde et voici une photo prise dans la campagne indienne comme j'aurais pu le faire lors de notre voyage en Inde mais comme je le déplorais souvent, étant en mini bus avec d'autres personnes on ne pouvait pas s'arrêter chaque fois que je voyais des scènes comme celle-ci et c'était frustrant bien sûr...

20.11.09

Inondations en Indonésie

Beawiharta est un photographe exceptionnel car il sait tout dire en une seule photo.


Ani Triastuti prays while sitting on a desk, in her house which has been flooded by sea water, at Mondoliko village in Demak, Indonesia's Central Java province November 14, 2009. Mondoliko village, home to some 188 families and located about one kilometer from the beach, has for the past three years been flooded by sea water because of rising sea levels, according to Sunarti Triastuti, a villager. Triastuti also said the floods destroyed the village's padi fields and farmers have had to head to the city to find other means of livelihood.

Le+casse


Ce petit bout de film est génial car en plus de voir Omar Sharif et Belmondo, on voit un échantillonage de la cuisine grecque... tellement appétissante.

18.11.09

Un photographe que j'admire - Ruadh Delone


Un portrait absolument magnifique de ce photographe qui participe sur le blog aminus 3 .
Il s'appelle Ruadh Delone.
Et c'est sans aucun doute un des meilleurs photographes de ce blog aminus 3 dont je fais partie également. (jakimages )

7.11.09

Les dépanneurs




Ils sont pas très esthétiques mais ils font partie du paysage de Montréal...

6.11.09

Lecture


Résumé du livre
Nuit après nuit, un homme très perturbé se protège en évoquant son passé - tant de voyages, tant de rencontres amoureuses qui restent obsédantes. Sa mémoire lui donne le vertige. Ses souvenirs l'aideront-ils à aller mieux? Il s'invente une série de doubles qui mènent une vie sentimentale tout aussi agitée que la sienne. Il pourrait aller rendre visite à sa mère. Elle vit seule en Provence et aura bientôt quatre-vingt-dix ans. Il a d'abord un travail à finir. Sa mère lui déclare : 'Au lieu d'envoyer des fax à ta dizaine d'amoureuses, tu devrais publier un livre, sinon les gens vont croire que tu es mort.'

Mon commentaire :
Pas facile de suivre les méandres de l’esprit du personnage central et presque unique de ce livre, en occurrence, un écrivain... c’est probablement autobiographique.
La lecture se fait en surface, ça ne me touche pas vraiment, les préoccupations de cet écrivain me sont étrangères mais en même temps je suis curieuse de suivre le processus de la création... combien c’est difficile, combien on la souhaite et combien on la fuit.
Et je joint la critique en dessous car elle donne plus de détails sur ce parcours de l’écrivain écrivant un livre, ou du moins essayant d’écrire ce livre. Il est vrai que le sujet est très sensible comme le suggère le titre... sauf qu’il parle très peu de sa mère, par petites touches affectueuses, elle est comme sa conscience, celle qui lui rappelle qu’il est un écrivain et qu’on attend de lui ... des livres.
Je suis moyennement d’accord avec un bout de sa critique quand il parle de charme fou...
La fin du livre est surprenante, et en même temps elle est sans doute la justification du titre et le déclencheur du roman; il a été proche à la fois du non livre et du non 3 jours chez sa mère...

La critique   par Emilie Valentin
Ceci n'est pas une coquille : François Weyergraf est bien le héros de ce roman. Il est marié à Delphine, ses filles se prénomment Zoé et Woglinde. Il est écrivain et le héros du roman qu'il écrit s'appelle François Graffenberg, sa femme Daphné, ses filles Chloé et Sieglinde. Quant à maman, dans le roman comme dans le roman du roman, elle reste maman. Tout comme dans le roman "réel", cette arlésienne que l'éditeur a attendu près de huit ans. Car 'Trois jours chez ma mère' raconte sa propre genèse. L'histoire de tous les François ici présents. Weyergans y compris. L'histoire d'un écrivain. Parce que l'auteur se sent : "plus à l'aise avec un écrivain qu'un serial killer, un chirurgien ou un ministre". Un écrivain qui passe plus de temps à dire qu'il va écrire qu'à écrire, à choisir sa bibliographie qu'à s'en servir, à mettre sur pied des idées de manuscrits qu'à avancer celui qu'il a commencé, à planifier l'après publication qu'à passer ses menaces à exécution. Faire du sport, ranger son bureau, voir ses amis, tout ça c'est pour après, quand le livre sera publié. Tout comme ces quelques jours qu'il compte passer chez sa mère. Alors en attendant, pendant qu'il n'écrit pas, il raconte. Les lettres qu'il a envoyées à toutes ses idoles : Graham Greene, Raymond Queneau, Jean Renoir, Hergé,… ses histoires de maîtresses, les visites des huissiers. Et le livre est là. Un livre sur comment il n'arrive pas à écrire son livre, justement. Avec érudition, avec humour, avec un charme fou. On en vient à souhaiter qu'il ait autant de mal à écrire le prochain, au risque d'attendre encore.