30.4.08

L'Inde à travers le regard d'un autre photographe


Découverte d'un photographe Bernard Descamps.
Et de magnifiques photos noir et blanc sur l'Inde.
Et aussi un livre avec ce commentaire de Brigitte Ollier dans Libération :
"

«En Inde, si vous ne priez pas, vous avez perdu votre voyage. C’est du temps donné aux moustiques».

Se plaçant sous la protection d’Henri Michaux (Un barbare en Asie), Bernard Descamps s’avance au sud de l’Inde, à Rameswaram, avec sa patience légendaire, et cette ville sacrée, «socle tellurique du shivaïsme», paraît s’arrêter pour le recevoir, tel un hôte précieux. Dans ce noir & blanc plein de douceur qui convient si bien à son regard ouvert aux autres, il photographie l’étrange ballet des pèlerins, où tout s’ordonne dans des mouvements gracieux, femmes se tenant par la main, enfants recouverts de poudre, saris séchant sur la plage comme des voiles de bateau sous le vent.

C’est un livre tout en silence, comme l’indique son titre, car Bernard Descamps n’est pas un homme qui aime à jacasser. On retrouvera donc dans ces images au format carré tous les murmures de l’architecture des âmes et des pierres d’un seul tenant, évidemment de la pudeur, et, plus secret, ce qui retient toujours en haleine ce grand voyageur, le sentiment d’être présent tout en restant invisible. Il faut l’avoir vu de ses yeux arpenter l’Afrique ou un autre coin du monde avec son air de petit lutin et un bonheur de marcher comme s’il était chez lui, partout. Homme du monde, donc, hier au Japon, aujourd’hui en Inde du Sud, face au lever du soleil sur l’océan indien..."

28.4.08

Trinidad - Cuba

Trinidad est une ville qui a beaucoup de charme malgré le délabrement de beaucoup de maisons. Dans la vieille ville les voitures sont interdites et les rues appartiennent aux enfants et aux gens qui vaquent à leurs petites occupations. C'est une ville tranquille, assoupie par la chaleur l'après-midi et pleine de vie les matinées avec les quelques petits marchands des rues .
Les gens sourient et parlent très facilement avec nous , les étrangers, ils nous demandent toujours d'où on vient et puis quelques uns nous proposent un resto à la maison, de la langouste quelque part ou des cigares chez eux ... des petits commerces plus ou moins légaux pour essayer de rejoindre les 2 boûts car la vie est dure pour ces gens aux salaires de misère.
J'ai fait quelques portraits que j'ai mis sur JAKIMAGES.




7.4.08

Climats

Je ne prends aucune chance et nous partons pour Cuba Trinidad pour 2 semaines de soleil, de sable, de salsa, de photos... voilà!